[HRP : Histoire de rappeler l'épisode précédent (et aussi parce que j'ai pas trop le temps de faire un RP là) je remets les messages de Merlin et moi-même à ce propos.HRP]
------------(Merlin)
Tout de cliquetis et de mailles, le vieux demeuré observe l'autre bout du marais... De là il peut voir les renforts, arrivant à point nommé, en la personne d'Orphée, et de ses compagnons d'arme... Soulagé, il cesse un moment sa crise d'épylepsie à tendance paranoïaque, pour se laisser aller, adossé contre un talus, et ouvrir la braguette de son armure de fortune...
Il en sort une verge rude et fière, malgré les années, qu'il commence à tripoter d'un air lubrique...
"Détendons nous un peu, fier Zangdar Zangdi..."
Il se tripotait la queue tout en adressant de grands signes à l'attention d'Orphée, sans doute afin de le bénir...
-----------------------(Père Tazarin)
Les propos de Merlin réveillèrent assez soudainement le vieillard. Alors que le nègre n'avait pu le contenter et que sa main commençait à être ennuyeuse, l'occasion de joies nouvelles se présentait.
Il rentra dans sa tente et en ressorti avec son sac usé et défait à l'excès. Il se pencha, fouilla longuement, renversant une quantité incroyable d'objets intrigants puis trouva un collier garni de piques rouillées et rattaché par une laisse. Des cheveux s'entortillaient et voletaient doucement, retenus par les protubérences metalliques.
Na mouais... on est pas encore assez intimes mon chou. Faut commencer plus gentil, pas de larmes aujourd'hui...
Il abandonna alors le collier dans les abîmes du sac, se remettant à chercher autre chose. Enfin, alors que Merlin voyait son phallus mollir sous manque de franche motivation, Tazarin se mit à sautiller gaiment en gardant dans sa main un petit objet noir.
Gniahaha, c'est bon j'arrive...
Il se mit à retirer sa soutane sans la déboutonner et eut la bonne idée de parler en même temps.
C'est... c'est pour... pour me motiver, ça intensifie mon... NOM DE DIEU ! * la soutane reste coincée au niveau de la tête, la voix devient brumeuse à travers le tissu * mon débit hormonal... c'est gniah putain... ça me fait... ça * sa tête se délivre enfin de l'habit * CA ME PERMET DE BAISER COMME UN DIEU ! 'fin comme "Lui", Celui qui m'a envoyé gnéhéhé...
Désormais nu, répugnant donc, le vieux s'avançait vers l'autre fou tout en se pignolant gaillardement l'appendice virile. Puis alors il posa l'objet par terre. Il s'agissait d'une petite boite noire, vitrée sur le milieu et à travers laquelle on pouvait lire très indisctinctement "éditions jeunesse". Sur les côtés, une inscription "Sony" était lisible, accompagnée de deux boutons. Tazarin commençait à devenir vraiment inquiétant, son corps blanchâtre était parcouru par de profonds tressaillements et ses yeux, aidés de son sourire, laissaient deviner d'atroces pensées perverses.
Il appuya sur l'un des boutons, regarda Merlin puis cria :
C'est parti !! J'te préviens, parfois ça déconne un peu mais on comprends l'essentiel gnahinhinhin...
Une musique d'enfant, jouée au xylophone, puis une voix de gamine se firent alors entendre :
"Ti tu ti tu ta tu, bonjourrrrchchhh ! Je m'appelle Maggy ! AujouuuUUuurd'hui nous allons découvrir la ferme !"
La scène devint horrible. Tazarin entama l'acte sexuel, remuant l'armure sonore, tout en écoutant avec un air attendri les paroles de la petite sur fond de musique niaiseuse :
"U-ne vache-a-des-taches hi-hi-hi !
Le-ca-nard-a-un-bec hé-hé-hé..."
Tazarin suait, les aller-retours s'accuentuaient et les bruits de ferraille composaient avec la chanson une ignoble symphonie du vice. Il cherchait ses appuis, s'appuyant sur les hanches de son partenaire ou tirant sur ses cheveux.
"Les-co-chons-ça-pueuuu ha-ha-ha !
Les che-vaux-ça-chatttt-schfpf-couille cu-cu-cu !"
Bouahh, j'adore ce passage ! Une vraie p'tite salope, SUCEUSE !
Autour du campement, tout était calme. L'eau du marais stagnait. Les nuages glissaient. Le soleil brillait.
Près des deux boutons de l'appareil à musique, une autre inscription qui bougeait sans cesse s'arrêta, indiquant : "00:41:53".
La chanson s'était terminée par les douces paroles de la fillette :
"A bientôt, pour de nouvelles aventures ! hihihi. Et n'oublie pas, il ne faut pas frapper les animaux, c'est méchant !"
Paroles reprises immédiatement par Tazarin qui s'extirpait de Merlin le sexe baveux et gluant :
TA GUEEEULE ! C'est mon animal qui va te frapper ! connasse !
Il essuya sa bouche où de la salive suintait tout autour, puis déclara :
Ca repose ce genre de chose hein ?
Puis en allant ranger sa petite boite noire :
Au fait, tu feras à manger ma lapine, j'ai plus de bouffe ni de médocs.
---------------(Merlin)
Le vieux demeuré cliquetait dans son armure tandis que le cureton l'astiquait par l'oignon... Cliquetis dus un peu plus à l'âge de l'armure qu'aux coups de reins mous de l'homme d'église, qui avait pourtant trouvé une source d'inspiration fantastique... Et pour cause, la fameuse chanson procurait un plaisir intense dans le bas ventre de Merlin, qui avait attendu que le bon Zangdar se retire...
"...Tu me feras à manger ma lapine..."
La phrase fantastique avait retentit dans les airs et dans l'espace, merveilleuse maxime, que les esprits puissants et virils de la forêt interprêtaient à l'attention de l'enchanteur comme une sorte de "maintenant c'est toi qui me ramone salopard"... Aussitôt dit... Voilà le merveilleux magicien, toute bite dehors, qui se laisse tomber de tout le poids de son armure sur son compagnon de route, cherchant du doigt le trou du cul du curé...
"LE PUISSANT DIEU SODOMOS RECLAME SON DU !!!"
Oui, voilà une vision des plus formidables, que celle du serviteur des grands dieux et des génies de la nature, en communion rectale avec Zangdar Zangdi, l'envoyé spécial de l'esprit de la forêt... D'une main experte, le mage fantastique dirigeait son membre viril dans le fondement de son complice, gueulant comme un vieux goret, suffoquant de plaisir et de dégueulasserie...
Rapide avait été le ramonage, de même que le crachat, alors que l'affreux se relevait bite pendante...
"MALEDICTION !!! MALEDICTION !!! COURRONS SUR ORPHEE !!!"
----------- (Père Tazarin - nouvel RP)
Eprouvé par cette récente osmose bestiale, Tazarin arrivait en marchant plus calmement que Merlin, regardant le nouveau campement d'un air de vieux que rien n'étonne. Il laissa son compère s'exciter sur la viande regardant froidement et tour à tour les nouveaux visages qui s'offraient à lui. Finalement, il s'écria :
Bon alors bande de cons ! Partouze ce soir ?